Dans la bulle d’indiction, il nous rappelait que « la vie chrétienne est un chemin qui a besoin de moments forts pour nourrir et fortifier l’espérance ».
Notre diocèse a répondu à cet appel par divers rassemblements.
- L’ouverture du Jubilé à Avignon, le 29 décembre 2024, a marqué le départ, en procession, dans la prière et la joie.
- La journée diocésaine du 26 janvier 2025 à Carpentras a permis à chacun de faire une halte, d’approfondir sa foi et de goûter la communion fraternelle.
- Les pèlerinages à Rome ont été des moments particulièrement forts.
Le pèlerinage de mai restera historique pour notre diocèse d’Avignon : vécu au cœur du Conclave et lors de l’élection du pape Léon XIV, il illustrait que l’Église est habitée par les promesses de Dieu. Marcher sur les traces des apôtres Pierre et Paul, prier sur les lieux où tant de chrétiens ont témoigné de leur foi, renouveler les promesses de son baptême dans le baptistère de la basilique Saint-Jean-du-Latran furent autant d’appels profonds à se laisser façonner par le Christ pour vivre et témoigner de la Parole.
Des jeunes du diocèse ont également vécu deux pèlerinages, en juillet et en octobre. Invités à goûter à l’Amour de Dieu, les cœurs qui ont eu la volonté de s’ouvrir à Lui, dans le silence et la discrétion, ont pu vivre et vérifier, dans la fine lame de leur être, Sa présence. Certains l’ont exprimé avec pudeur et grandeur.
- Les quatre lieux jubilaires du diocèse — la basilique Saint-Pierre à Avignon, la cathédrale Notre-Dame-de-Nazareth à Orange, le sanctuaire Notre-Dame-de-Vie à Venasque et le sanctuaire Notre-Dame-de-Lumières à Goult — ont permis à celles et ceux qui n’ont pas pu se rendre à Rome de goûter à la joie du Jubilé à travers des temps communautaires organisés par de nombreuses paroisses.
Puissions-nous demeurer, chacun là où il est, de vrais pèlerins d’Espérance, porteurs de la lumière du Christ pour nos frères et sœurs de ce monde.
En ce mois de janvier qui s’ouvre par la solennité de Marie, Mère de Dieu, en ce temps liturgique où Marie est là, « la plénitude des temps », rappelons-nous que c’est Elle qui a humanisé Dieu dans la discrétion, la pauvreté et l’humilité.
L’humilité est la résultante de la pauvreté et de la discrétion : elle est une disposition de l’âme. L’intérêt, c’est le service, pas le serviteur.
Que chaque catholique du diocèse : prêtres, diacres, religieux, religieuses et tous les baptisés nous puissions goûter, trouver ou retrouver, en cette nouvelle année, la saveur exquise de l’humilité.
Le service diocésain de la communication









